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À LIRE – Le Parisien : « Je veux laisser plus à la terre que je ne lui prends, l’honorer, la valoriser »

23 avril 2019

On parle de nous et nous sommes fiers de le partager avec vous ! Extrait d’une interview donnée par Alexis Muñoz à Adeline Boval du Parisien.

Interview à retrouver dans son intégralité ICI.

Venu à l’Huile d’Olive par passion, Alexis Muñoz a créé la marque 18:1, utilisée aujourd’hui par les plus grands chefs.

Seulement 4% de l’huile d’olive consommée chez nous est française. Les 105 000 tonnes d’huile d’olive achetées chaque année dans notre pays viennent d’Espagne, d’Italie, de Tunisie ou du Portugal. Mais un nouvel acteur pourrait bientôt faire progresser la production hexagonale. Alexis Munoz, 45 ans, est en train de planter une oliveraie majeure en France dans la région d’Uzès (Gard).

« Nous venons de mettre en terre des oliviers de 65 cm que nous avions semés et fait grandir un an en serre, explique-t-il. Nous avons planté à ce jour 70 hectares et allons poursuivre jusqu’à 100 ou 120. »

Une passion pour l’olivier et son fruit qui ne l’a jamais quitté

Il lance sa société en 2013 pour produire et distribuer des Huiles d’olive mono-variétales, pressées à partir d’autant de variétés différentes, à trois stades de maturité distincts. « J’étais inconnu, aucune épicerie n’aurait osé prendre mon huile d’olive, se souvient-il. J’ai parcouru 120 000 km par an pendant deux années pour aller voir les Chefs, sans rendez-vous, et j’ai gagné ma crédibilité. C’est là que j’ai structuré 18 : 1. »

90 % de ses clients sont des cuisiniers

Sa marque, dont le nom est inspiré par la formule simplifiée de l’acide oléique, a pour objectif de répondre aux attentes des chefs : un contenant léger et inclassable et une huile d’olive « premium à prix tendu ».

Passionné par le nectar vert, l’homme n’en oublie pas le marketing. « Cette huile, tout juste sortie du moulin, le chef Guy Savoy l’a goûtée hier soir et il a bien aimé », lâche-t-il sans en avoir l’air. Il se prête à un long cérémonial de dégustation. « Je suis elaïologue, et non oéologue, tient-il à préciser. Je suis capable de déguster à l’aveugle, de planter des arbres et de faire tourner un moulin. C’est la même différence qu’entre un sommelier et un oenologue pour le vin. »

Aujourd’hui, si 90 % de ses clients sont des cuisiniers, les huiles d’Alexis Muñoz sont vendues dans environ 200 épiceries fines et fromagers.

Intégralité de l’article à découvrir ICI.

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